Meurtre de Sandra : l’asexualité revendiquée de l’accusé principal remise en cause

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Deux experts ont brossé ce lundi 29 janvier devant la cour d’assises à Créteil le portrait de l’employé accusé d’avoir étranglé dans sa supérette l’étudiante en mai 2019. L’hypothèse d’une agression sexuelle qui a dégénéré gagne du crédit.

Trop lisse, trop pur, trop louche. Shamran, l’employé accusé d’avoir étranglé Sandra dans sa supérette de Quincy-sous-Sénart (Essonne), n’est certainement pas l’homme dénué de désir sexuel qu’il veut paraître. « Improbable », a avancé l’expert-psychiatre qui a témoigné ce lundi matin aux assises à Créteil.