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En Serbie, les étudiants ont rameuté une fois de plus ce samedi 1er mars des milliers de personnes à Nis, la troisième ville du pays, pour protester contre la corruption, le népotisme et la monopolisation de la vie publique.
En Serbie, si les étudiants ne visent pas nommément le président Vucic, tout le monde lui reproche ses attaques contre la démocratie, comme Stefania, une jeune maman. « La carte du parti est nécessaire partout, à commencer par l’école maternelle ou l’hôpital… Par exemple à la maternelle, on a attendu quatre ans une place pour ma fille simplement parce qu’on n’avait aucun contact avec le parti », explique cette dernière.