Sénégal : Investir dans l’économie du savoir, serait une clef pour réussir tous les enjeux générateurs de développement

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À force de voir et de disséquer les informations mondiales,nous observons d’être envahi par un sentiment inquiet et un questionnement sur ce qu’il faut commencer pour sauver leur Sénégal des turpitudes économiques et sociales,le Sénégal serait il un pays finement maudit ?

Partout au Sénégal ne semble régner que de la misère contenue par la dignité de beaucoup de compatriotes.

Soyons sérieux et lucide, les situations et les images sont parlantes.

Depuis des décennies le Sénégal a échappé à des fléaux dramatiques,mais curieusement les effets dévastateurs sont tous présents dans notre pays,au même titre quelquefois que les causes récurrentes de leurs manifestations.

Nous avons plusieurs niveaux de compréhension de ce qui nous arrive depuis des années, n’en manifesté par deux attitudes totalement en opposition contradictoires dominantes.

D’une part des Sénégalais qui sont ensevelis dans un désespoir et pessimisme lassant et une acceptation d’un fatalisme sans nom.

Alors leurs conséquences chaotiques et désastreuses, deviennent fatalement presque irréparables,in fine le Sénégal devient inéluctablement maudit, voire irrécupérable.

D’autre part un nouveau système naît,celui du projet « PASTEF », appartement complètement sereins mais traités d’insouciance par des lobbies prédateurs.

Pour ces compatriotes conséquents et consciencieux,le Sénégal serait le premier pays africain qui pourrait créer un choc d’éveil et le premier pays africain capable de faire réussir le nouveau panafricanisme libérateur.

Parfois,on peut constater de les entendre développer des arguments irrationnels,qui se veulent pouvant donner une vie de prospérité,de sécurité et de progrès pour tous.

Il ne s’agit pas de voir quelle entité ou panel n’est pas en phase avec la réalité objective.

Dans le système mondial,les choses ne sont pas binaires, il suffit de tenir compte des disparités de fait et des divers enjeux non linéaires de nos sociétés et de nos intérêts réciproquement dépendants de l’intérêt de chaque pays.

Il est évident que notre pays est magnifique et rempli de potentialités jusqu’à présent peu exploitées à juste valeur.

Ma conviction certaine, c’est que nous devons nous mettre sur le même plan de performances et de compétences que les pays asiatiques comme la Chine, l’Inde et la Corée…

Le Sénégal doit trouver sa place dans ce monde moderne,non par des rhétoriques ni des slogans,ni par une perception sans âme,mais une rigueur appuyée de détermination dans le travail bien fait et dans la recherche de la perfection totale.

Nous devons nous mettre tous au diapason du travail bien fait .

Ayant toujours à l’esprit de faire partie des nations qui se respectent et qui feront avancer le monde,par notre apport dans le processus du progrès mondial.

Sinon,le camp des pessimistes consommateurs invétérés nous guettent et nous poussent dans le gouffre profond de l’échec.

Pour cela nous devons travailler tous ensemble pour mettre le pays de la TERANGA dans la machine à fabriquer des champions qui porteront la victoire de la bataille finale.

Totalement sûr qu’à force de travail,de sérieux ,de détermination collective et d’ingéniosité partagée,nous sommes capables de faire de ce pays  un Eldorado.

La solution khadimique passerait par revigorer et surtout revivifier tous nos atouts.

Le maître mot sera le patriotisme économique,le patriotisme social et surtout le patriotisme politique… Car nous vivons dans une mondialisation qui fonctionne avec des individualisés nationaux et des entreprises privées qui ne défendent que d’étroits intérêts de petits groupuscules.

De ce fait,ayons l’élégance et la sérénité morale et intellectuelle de reconnaître que la culture et le culte du travail bien fait doivent être développés dans notre pays .

 In fine, beaucoup de tâtonnements constants doivent être conjugués dans le passé.

Une nouvelle culture doit être impulsée dans l’âme de notre pays afin d’éviter des errements.

Il est vrai que les facteurs essentiels qui font la différence entre les nations est la qualité de rapport de chacun de nous et de chacune face au travail bien fait

En créant les conditions et en ayant des hommes politiques conséquents et consciencieux nous pouvons en peu de temps hisser le Sénégal au rang des 10 meilleurs pays de la planète avant 2050.

Pour cele,il nous bâtir le Sénégal des ambitions et le Sénégal exemple cde travail bien fait.

Il nous faut commencer à réconcilier l’intérêt individuel avec l’intérêt général et surtout national sous bannières de souveraineté nationale.

Que vivent tous les Sénégalais dans l’harmonie et la paix.

Le professeur Serigne khadimou Rassoul Thiam.