Le New York Times parle d’« une véritable onde de choc pour le monde de la médecine reproductive » etcite la porte-parole de la Maison Blanche : Karine Jean-Pierre estime que cette décision « va exactement causer le type de chaos auquel nous nous attendions quand la Cour suprême a renversé l’arrêt Roe contre Wade (ôtant la protection fédérale dont l’avortement bénéficiait jusque-là), et a ouvert la voie à des politiciens pour qu’ils imposent leurs vues sur ce qui fait partie des décisions les plus personnelles d’une famille ». Chaque année, 2% des naissances aux États-Unis impliquent une fécondation in vitro, écrit USA Today : plusieurs œufs sont récupérés, fertilisés et implantés pour lancer une grossesse. Or, écrit le site d’information local al.com dans son éditorial, « l’Alabama est aujourd’hui devenu tellement « pro-life » que des personnes qui veulent à tout prix être parents pourraient ne pas avoir d’enfants ».
La Cour suprême de l’Alabama considère que les embryons congelés sont des enfants
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