Dans son rapport annuel d’activité, dévoilé ce mercredi 15 mai lors d’une conférence de presse, Dominique Simonnot, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), décrit une situation avec laquelle les conditions de détention sont déplorables.
C’est un tableau très noir que dresse Dominique Simonnot. Un constat sévère établi par la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), à partir de 110 visites de contrôle d’établissements effectués en 2022. Soit 31 établissements pénitentiaires, 26 établissements de santé mentale, six hôpitaux recevant des personnes privées de liberté, cinq centres de rétention administrative et zones d’attente, quatre centres éducatifs fermés, six tribunaux, 30 locaux de garde à vue et de rétention douanière, et deux procédures d’éloignement forcé.