Pourtant ,
Cette colossale dette empruntée devrait être un frein à l’immigration clandestine et donner des emplois à notre jeunesse vaillante et engagée pour le développement du Sénégal.
En cela pour parler vrai,
Alors à qui cette dette aurait-elle réellement profité ?
Il est vrai qu’on peut détruire un palmarès,mais on ne peut jamais détruire une histoire humaine.
D’évidence,
Cet événement historique incarné par Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Ousmane Sonko est une chance inouïe pour une reconstruction rapide et limpide .
Il est simple de comprendre que dans un divorce ,il ya toujours un qui refuse l’évidence et de s’écarter de la réalité .
C’est ce qui se passe entre le Sénégal et la France ,celle-ci n’a pas encore compris que la volonté populaire est de finir avec la domination aveugle du système colonial et que ce peuple souverain veut maintenant être totalement libre pour voler de ses propres ailes .
Le peuple sénégalais a bien compris qu’il faut être pauvre et digne que d’être un riche esclave et d’être soumis au dictat de l’impérialisme prédateur de nos ressources naturelles.
Alors la France et les institutions financières impérialistes doivent accepter que dans le cas du Sénégal ,le Président de PASTEF Ousmane Sonko et l’actuel président du Sénégal ont été bien choisis démocratiquement par le peuple souverain du Sénégal .
Donc vous avez intérêt,par le principe du gagnant/gagnant,de les accompagner dans cette nouvelle vision 2050 que le PASTEF a mis en place afin que l’émergence soit une réalité concrète pour nous tous.
Pour vous dire que l’Afrique s’est réveillée ,il n’est plus question d’être contre vous,mais comprenons la situation actuelle et bâtissons ensemble cette Afrique très humaine .
En effet,
Le Sénégal est entrain d’être l’exemple d’une révolution sans effusion de sang ,dans une logique khadimique douce et objectivement juste,alors tous ensemble pour libérer l’Afrique .
De ces dettes exceptionnelles et d’orientations injustes ,l’heure est arrivée de procéder à la restructuration d’une nouvelle Afrique pour le bien d’une humanité harmonieuse et intelligente . C’est bien que la chronologie est le fait que le peuple souverain s’est réveillé et que sa jeunesse a décidé de rentrer dans sa propre histoire.
Cet événement historique incarné par Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Ousmane Sonko est une chance inouïe pour une restructuration positive et efficiente ,rapide et pédagogique pour sauver le Sénégal et tout le continent africain ,cette forme de révolution douce sans effusion de sang massif est à saluer ….
Il est récurrent, que dans un divorce à l’amiable,il ya toujours quelqu’un qui refuse de voir la réalité du divorce,c’est ce qui se passe actuellement entre la France et les anciennes colonies.
La France n’a pas encore compris que le peuple souverain veut retrouver sa liberté et sa volonté de se refaire sans haine. Que l’heure du changement de paradigme est arrivée,une nouvelle Afrique est née …l’Afrique d’une jeunesse consciente et déterminée,relatée et relayée par les réseaux sociaux.
Cette Afrique décomplexée ,qui veut agir en toute liberté et en toute conscience pour défendre ses intérêts stratégiques et sociétaux .
l’Afrique que rêvaient Kadhafi,krumah,Thomas Sankaré,sékou Touré et les autres…
Alors la France et leurs institutions financières doivent accepter que dans le cas du Sénégal et des autres pays subsahariens que la nouvelle donne s’oppose à tout exploitation négative et contre productive,mais juste inspirant un climat de confiance et de partage équilibré qui tient compte des termes de l’échange justes et équitables.
Senghor le disait sans cesse ,les termes de l’échange sont inégaux,alors réagissez vite avant qu’il ne soit trop tard.
Rassurez-vous que Bassirou Diomaye Diakhar Faye a été élu démocratiquement par un peuple souverain qui a su entendre et écouter les vérités dites par le président de PASTEF Ousmane Sonko .
In fine,
Un peu d’histoire pour comprendre le comportement de certains pays endettés.
Régulièrement pendant des siècles dans l’histoire de l’humanité durant le Siècle d’or l’Espagne première puissance mondiale violait souvent ses engagements financiers.
Au cours de ces 20 derniers siècles ,pas moins de 90 états de sont trouvés en crise financière ce qui mettait ces pays en défaut de paiements de leurs dettes publiques.
Récemment ,depuis le début de la crise de 2007,sous le double effet de tassement ou de la baisse de recette et de la hausse des dépenses budgétaires liées aux plans de renflouement de certains établissements de crédits et autres maintiens des divers programmes sociaux,alors des besoins de financements des états ont considérablement augmenté.
Tous ces paramètres faramineux de plus en plus mettent certains pays en voie d’endurance et d’espérance constructive dans une situation d’insolvabilité passagère et donc s’avèrent incapables d’honorer leurs dettes à moyens termes.
Par ailleurs nous savons qu’un état n’est pas un débiteur comme les autres…
Donc le risque souverain avec toutes ses différentes formes est susceptible de permettre, de montrer,d’analyser et de trouver une solution médiane confortable pour les parties mises en cause et ceci serait compréhensible et acceptable de fait.
Pour le moment il n’ya pas de changements visibles pour le Sénégal d’en bas dans la reconstruction du pays.
Alors ,
L’objet n’est pas de perdre du temps sur les responsabilités mais de trouver rapidement des solutions idoines afin d’aider le nouveau régime à stopper ces contraintes qui poussent le pays au chaos énormément dramatique et source de misères humaines.
Il est vrai que toute dette publique devrait aller dans le sens d’entretenir une croissance juste et prospère génératrice de stabilité économique créatrice d’emplois pérennes.
À condition qu’elle soit soutenable .
Dans l’histoire des dettes des états, l’endettement public s’est globalement maintenu à un niveau élevé sous le triple effet des guerres mondiales,de l’apparition de la COVID 19 et de l’augmentation des dépenses sociales liées à la démographie galopante des états et aux taux de mortalité inférieur aux taux démographique qui croit de manière exponentielle.
Cependant,la singularite de la dette souveraine tient avant tout au pouvoir au statut juridique de l’état .
Dans le cas d’un état emprunteur,les organismes s’interrogent sur la volonté de respecter ses engagements financiers et ses potentielles puissances de remboursement futurs et sur sa gouvernance vertueuse.
Il est vrai qu’il ya plusieurs états dans le monde qui ont refusé de rembourser leurs dettes, de l’Espagne de Phillipe II,à l’Equateur de Rafael Correa,sans les citer, la liste est longue de ces pays défaillants.
En vérité,
il n’est pas toujours facile de distinguer des défauts de paiement ,au refus catégorique d’honorer ses dettes.
Quelqu’en soit l’origine véritable du défaut de paiement,le sort de l’état défaillant est différent radicalement de celui qui aurait opté pour la voie d’une délinquance financière ou d’une autre forme de résistance de non paiement.
Ainsi durant les années 1930 et 1940,le Chili,la Colombie et le Pérou n’ont pas hésité à racheter à très bas prix une partie de leurs dettes obligataires en défaut de paiement.
Au lieu de reprendre le paiement normal de leurs coupons.
Sachant que l’état ne peut être mis en liquidation ou mis en redressement judiciaire,alors le caractère généralement inaliénable et imprescriptible de la plupart des biens de l’état empêche et limite fortement toute saisine d’actifs .
Ces caractéristiques expliquent pourquoi il est largement possible de trouver à court terme des parades pour éviter une faillite ou banqueroute dans le cas d’un état souverain et démocratique.
Par ailleurs,l’immunité des états demeure un obstacle majeur .
Néanmoins les créanciers ont des moyens pour recouvrer leurs créances de facto en insérant dans leurs contrats des clauses d’arbitrages dans les dettes souveraines.
Alors,
Afin de faciliter le processus de restructuration des dettes souveraines .
D’abord, en utilisant une diplomatie créative et canon mais aussi les institutions financières aussi souveraines peuvent trouver des alternatives justes et lisibles.
Dans le cas du Sénégal devrions- nous aller dans le sens d’une restructuration positive forcée ?
Ce n’est pas nécessaire puisque notre crédibilité et notre signature sont reconnues par les institutions internationales et l’équipe actuelle donne confiance,assure et rassure les milieux financiers puisque qu’elle a opté pour une transparence et un sérieux dans l’application du droit.
Pour certains états leur niveau de lecture de la suspension de leurs dettes étouffantes est une simple volonté de gestion efficace qui respecte totalement les aspects politiques d’une bonne reconstruction porteuse d’espoir et de progrès évident .
Dans le cas du Sénégal,plus le temps passe la stratégie de 2050 de son Excellence le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et du président de PASTEF et premier ministre.
Cette situation d’endettement doit être traitée avec toutes les clauses professionnelles et de bonne conscience. Afin de ne point créer des difficultés contraignantes pour l’émergence du Sénégal…
De toute façon,
Comment peut-on ignorer le nombre de barils jour qui pourrait augmenter de manière suffisamment pérenne l’économie du Sénégal et le niveau croissant des exportations,source pour permettre beaucoup d’entrée d’argent .
De cet fait cette restructuration des dettes ne sera qu’un moyen pour reculer et pour mieux sauter.
Sans être excessif,le duo Bassirou Diomaye Ousmane Sonko,est un rempart khadimique solide pour que le Sénégal rentre dans le concert des pays porteurs d’une industrialisation de qualité et d’énormes possibilités d’entrée d’argent . Cette dynamique pourrait donner aux dirigeants vertueux du Sénégal de payer toutes leurs dettes souveraines.
Pour cela,
Vous conviendrez que l’Afriquesubsaharienne a été victime de prédateurs financiers qui ont pour seul objectif appauvrir le continent pour des intérêts bassement alimentaires au détriment de la misère du peuple d’en bas.
Ces fléaux composés de corrupteurs et de corrompus ont des responsables et des coupables que nous pouvons facilement identifiés.
Car il n’existe aucune loi mathématique,ni économique,ni économétrique qui peut faire d’un fonctionnaire multi-milliardaire.
De plus ces milliardaires Sénégalais sont riches en Suisse et dans les îles caïmans avec leurs comptes offshore.
Que cette misère soit soutenue par les institutions financières internationales serait inhumaine et nauséeuse,alors la solution ne pourra passer que par une étude sérieuse et objective,d’une restructuration juste et humaine.
Les solutions existent et elles sont recevables dans le cas du Sénégal !
Article écrit par le professeur de classe exceptionnelle Serigne khadimou Rassoul THIAM.