Les cours sainte Marie de Hann ont démarré hier les olympiades de la maternelle sous le thème «la culture de la paix, gage d’un bon climat social au cours Sainte Marie de Hann ».
«Nous voici rassemblés pour les semaines de la paix, édition 2025. En effet, notre établisse‐ ment a toujours œuvré pour le maintien de la paix, entre nous d’abord, et partout ailleurs. Le prix Unesco de l’éducation pour la paix, reçu en 1991, en est la preuve incontestable. Pour l’édition de cette année, le thème est «la culture de la paix, gage d’un bon climat social au cours sainte Marie de Hann » et nous voulons rendre hom‐ mage, à titre posthume, à Amadou Mahtar Mbow, un homme de culture et de paix qui a vécu 103 ans et dont l’œuvre intemporelle a marqué des généra‐ tions entières. Ces semaines ont vécu entre élèves et travailleurs à travers les tournois sportifs, les jeux d’esprit, les activités cul‐ turelles mais aussi, l’élan de solidarité envers les défavorisés.
C’est pourquoi, nous organi‐ sons ces jeux olympiques avec les tout petits pour leur inculquer les valeurs olympiques et les bienfaits du sport. A deux ans des Jeux olympiques de la jeunesse, Dakar 2026, notre établissement, en tant que lieu d’éducation favorisant le développement social et moral des enfants, veut apporter sa contribution positive à la so‐ ciété à travers ces jeux avec la petite enfance. Ce moment de compétition leur apprendra des valeurs sociales et le savoir‐être en communauté afin qu’ils de‐ viennent des citoyens modèles et responsables », a expliqué Chantal Manel, préfet de la maternelle aux cours Sainte Marie de Hann.
Venue présider la cérémonie, la directrice générale de l’Agence nationale de la petite enfance et de la case de tout‐petits a exprimé toute sa satisfaction. «Je suis vraiment honoré d’être ici pour prendre part à l’ouverture des olympiades de la maternelle des cours sainte Marie de Hann. Cette école est réellement consciente de l’éducation qu’on doit inculquer aux enfants dès le bas âge. Nous demandons aux enfants de bien dérouler les activités dans le fair‐play parce que c’est à cet instant de la vie qu’ils peuvent avoir une très bonne éducation », a laissé entendre, Khadijatou Diamil Diallo.
