«Pour une meilleure appropriation du genre, de l’égalité des chances et de traitement au travail ». C’est le thème d’un panel organisé hier en marge de la Journée des droits de la femme.
La cérémonie a été présidée hier par le Président du Haut conseil du dialogue social (Hcds). Selon Mamadou Lamine Dianté, par le choix de ce thème, l’institution tripartite nationale de promotion du dia‐ logue social entend jouer pleinement sa partition dans la prise en compte du genre dans les relations humaines qui est devenue une exigence prioritaire dans toutes les initiatives publiques et privées.
«En notre qualité d’acteurs des relations professionnelles, nous devons toutes et tous, nous investir pour mieux promouvoir ces instruments qui optimisent les potentialités des hommes et des femmes et valorisent leurs spécificités en prônant l’égalité des sexes et en bannissant toutes les formes de discriminations au travail. C’est dans cette perspective que nous avons pris le Mise en page 1
pari aujourd’hui d’élargir le spectre de partenaires sociaux à sensibiliser autour des problé‐ matiques abordées par ces conventions internationales du travail », a‐t‐il affirmé. C’est ainsi qu’au‐delà, des membres du Hcds et de leurs familles ont été convié à cette activité, les coordonnateurs des cellules «genre et équité » des minis‐ tères, les présidents de Comités des femmes des centrales syn‐ dicales de travailleurs ainsi que des représentantes des confé‐ dérations d’employeurs. «Cette activité constitue aussi une oc‐ casion opportune pour revisiter
La cérémonie a été présidée hier par le Président du Haut conseil du dialogue social (Hcds). Selon Mamadou Lamine Dianté, par le choix de ce thème, l’institution tripartite nationale de promotion du dia‐ logue social entend jouer pleinement sa partition dans la prise en compte du genre dans les relations humaines qui est devenue une exigence prioritaire dans toutes les initiatives publiques et privées.
«En notre qualité d’acteurs des relations professionnelles, nous devons toutes et tous, nous investir pour mieux promouvoir ces instruments qui optimisent les potentialités des hommes et des femmes et valorisent leurs spécificités en prônant l’égalité des sexes et en bannissant toutes les formes de discriminations au travail. C’est dans cette perspective que nous avons pris le le concept «genre » qui, malgré sa consécration dans toutes les relations et actions politiques, sociales et internationales, soulève encore beaucoup de passions et d’incompréhensions », a‐t‐il déclaré.
Pour Racky Wane du patronat, l’égalité des sexes n’est pas une «faveur mais un droit » que réclament les femmes au travail depuis très longtemps.
