Spread the love
La campagne de commercialisation arachidière officiellement ouverte le 5 décembre der‐
nier ne connaît pas l’animation habituelle dans le Saloum. La faute à un financement de la
campagne qui se fait encore attendre. Seule sur le terrain, l’huilerie nationale s’en donne
à cœur joie aux dépens des autres acteurs dont les producteurs obligés à s’en tenir au prix
d’achat de 305 francs fixé par le Comité national interprofessionnel de l’arachide (Cnia).
