Comme pratiquement lors de chaque JO, les athlètes africains ont du mal à briller sur le tatami à Paris. Ceux qui sont éliminés ce lundi 29 juillet déplorent le manque de considération et l’absence criarde de moyens du judo en Afrique.
Il n’y a pas eu de miracle, encore moins d’exploit retentissant, ce lundi 29 juillet sur le tatami de l’Arena Champs-de-Mars qui accueille l’épreuve de judo des Jeux de Paris. Sur les sept combattants africains engagés, seuls deux ont pu passer un tour : le Tanzanien Andrew Mgulu et la Guinéenne Mariana Esteves, avant de se heurter à la réalité. L’Afrique ne brille pas au judo aux JO, et ce n’est pas nouveau. Dans l’histoire olympique, seules quatre médailles, deux d’argent et deux de bronze, ont été glanées par l’Algérie et l’Égypte. Et il y a peu d’espoir que les 36 judokas représentant l’Afrique fassent mieux cette année.
JO 2024: au judo, l’Afrique encore et toujours envoyée au tapis
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